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il y a 4 ans
Chapitre 1 : la mise en cage de chasteté.
Nous sommes jeudi soir, ma chère et tendre fiancée rentre du travail. On parle de tous et de rien, comme un couple classique. Le soir arrive et elle me fait subtilement comprendre de la suivre pour aller à la douche en poussant sa langue contre l’intérieur de sa joue pour mimer une fellation. Mon sexe frétille directement dans mon sous-vêtement jusqu’à avoir une mi-molle.
Nous nous retrouvons sous la douche, nos corps se touchent, se frottent de manière très érotique mais tout en restant chaste. Chaste… si j’avais su. L’eau ruisselle sur le corps de ma future geôlière passant de l’échine de son crâne à son visage, continuant son parcours jusqu’à sa poitrine. L’eau dévale le bas de son sein comme un skieur sur une piste rouge. Elle continue sa course folle jusqu’à arriver au niveau de son pubis, disparaissant entre ses jambes. Cette suite d’image me reste en tête comme une mélodie qui repasse en boucle dans notre tête.
Fin de la douche, Ma fiancée commence alors sa petite toilette par le brossage de ses dents.
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« honpf comffeffe ?
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« J’ai rien compris », lui dis-je avec un rire amusé.
Elle répète 3-4 fois, amusée elle aussi par la situation. Elle recrache le dentifrice de sa bouche, me regarde et me lance :
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« on commence ?! va mettre ta cage. A partir d’aujourd’hui tu es ma chienne Sylvie »
-
« D’accord madame. »
Je ne rechigne pas, ça ne sert à rien hormis à l’énerver.
Je vais donc chercher les cages de chasteté que nous venons d’acquérir sur abc plaisir. La première est une cage de chasteté en acier ressemblant à la cb6000, la seconde est la cage castrat. Nous avions également acheté une culotte rose pour les encagés comme moi et un urinoir féminin pour les envies urgentes.
Je les dépose sur le lit, prépare le pénis de madame avec le harnais pour lui montrer que j’acceptais mon rôle de soumis.
Elle arrive dans la chambre, me voit et me sourit.
- « J’apprécie geste, je vais choisir la plus grande cage pour le moment ».
La cage se met difficilement, mon érection de début de chasteté m’empêche de la mettre rapidement. Ce sont les couilles tirées et le sexe gonflé dans l’acier que j’arrive à faire passer le cadenas. Madame verrouille alors le cadenas et en ressort la clé.
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« Maintenant je vais rédiger les règles que tu devras respecter pendant l’emprisonnement de ton oiseau. Tu peux déjà savoir que je ne te libèrerai pas rapidement, tu vas y rester un moment. Je n’ai pas encore de date précise, mais je veux que tu sois chaste longtemps et que tu t’occupes de moi comme d’une reine. Si tu jouis dans ta cage, n’espère pas t’en défaire. Tu seras lavé, réencagé directement et punis pour ta jouissance. De plus, la durée de chasteté se verra encore allongée alors n’espère pas pouvoir prendre trop de plaisir, par contre tu vas devoir m’en donner » !
-
« Bien madame, d’accord madame, je suis là pour vous servir ».
Elle sort alors une feuille et commence à écrire, à écrire, et à écrire. Elle retourne la page et elle reprend son écriture. Mon cœur palpite quand je vois toutes les règles que je vais devoir respecter. J’ai l’impression que je ne verrai plus la jouissance avant une éternité.
Elle me tant alors la feuille pour que je la lise.
Règle de Sylvie
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Tu devras me vouvoyer
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Obéir à mes ordres !
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Tu enlèveras la cage à chaque douche
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Tu dois faire en sorte que rien ne m’énerve, me frustre ou autre
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Si tu ne respectes pas les règles, tu seras punie.
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Je déciderai de tes « lever et coucher »
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Tu devras me demander la permission pour tout. (Pipi, boire, te moucher, manger, …)
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Chaque matin, je veux que tu m’écrives une phrase qui pourra me réconforter dans le début de ma journée
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Tous les vêtements à toi qui traînent devront être rangés et comptés !
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Après chaque douche, tu devras me brosser les cheveux
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Au travail, à chaque pause, tu devras m’envoyer une photo de toi dans des positions érotiques !
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Chaque fois qu’on partira en voiture, tu devras m’ouvrir la porte
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Tu prendras soin de moi
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Toutes bonnes actions mériteront une récompense
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Je t’aime ne l’oublie pas, mon rôle sera vache !
- « Maintenant que tu as lu, tu signes le document, prend ça comme un contrat à notre façon !
Je signe le contrat et maîtresse le signe à son tour.
Elle s’équipe alors de son pénis tout me disant :
- « J’espère que tu es prête, si ça rentre difficilement j’arrête et je ne te prendrai pas avant un moment » !
Je me positionne à quatre pattes, madame place son pénis en érection devant ma grotte. Elle tente quelque pénétration rapide au début de ma grotte.
-
« Tu n’es pas ouverte, tu m’énerves ! Tu es punie, j’arrête là, je vais dormir et on ne recommencera pas avant un moment sache le !
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« Désolé de vous décevoir madame »
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« T’en fais pas, je vais t’élargir la chatte et t’inquiète pas que ce sera plus un petit trou mais un tunnel que tu auras, sur ce bonne nuit Sylvie » !
Chapitre 2 : La frustration.
Aujourd’hui, nous ne passons pas la journée ensemble. Pour bien me faire penser à elle, ma domina s’est frottée à ma cage toute la matinée. Tantôt elle la pressait contre ses fesses, tantôt elle la prenait à pleine main en serrant mes bourses avec, ou encore en jouant avec le cadenas. Tous ces gestes qui me rappellent que mon pénis est en prison. Il ne sert absolument à rien, hormis à gonfler dans ses barreaux inutilement et à faire couler mon gland du liquide séminal par de petit filet translucide et très gluant.
A chaque fois que je pense qu’elle va s’occuper de moi en profondeur, elle s’arrête net et me laisse la, en transe, allaitant et avec le scrotum tiré vers l’avant.
C’est fou le nombre de chose que l’on ressent lorsque notre pénis est en cage. Le moindre contact provoque directement une réaction à notre entrejambe, un pincement aux tétons provoque inéluctablement un frisson suivit d’un râle de plaisir. Dans mon cas, la cage me rend vraiment chienne, pute, prête à tout pour avoir droit à de l’attention sexuelle de la part de ma geôlière.
-
« On part en week-end la semaine prochaine, j’espère que tu es prête Sylvie… »
-
« On part finalement ? prête pour quoi madame » ?
-
« On part à deux, nous dormirons 2 nuits à l’hôtel, crois-moi bien que tu vas couler dans ta cage. Et rassure-toi, je compte m’occuper de toi, même quand nous serons à l’extérieur. Je prévois deux valises, une pour les jouets et une pour nos affaires. Tu ne sauras plus où donner de la tête. Et tu seras dans ta cage jusque-là. Ça fera donc 8 jours au début de notre week-end, tu seras bien frustrée et je compte t’en faire baver » !
-
« Merci madame, j’ai terriblement peur, mais cela m’excite énormément ».
En effet, elle pose sa main sur ma cage et constate que mon pénis est tiré vers l’avant.
-
« Je t’ai pas permise d’essayer de bander » !
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« Pardon madame ».
-
« Va chercher la planche à pain et abaisse ton pantalon ».
Je m’exécute, lui donne la planche et me penche en avant avec les fesses en évidence. Je reçois quelques coups sur les fesses, la douleur est supportable, elle n’y met pas trop de force. Et puis d’un coup, elle m’envoie ses deux mains sur les fesses avec férocité. Je gémis plus fort qu’avec la planche.
Elle regarde mes fesses un instant avant de me libérer.
Nous avons passé le reste de la journée chacun de notre côté, occupé par nos différentes activités.
Chapitre 3 : la dilatation
Pour pouvoir faire plaisir à madame en étant sous cage de chasteté, je dois entretenir ma grotte. Généralement, madame me demande de mettre un plug dans ma chatte pendant quelques minutes, puis d’augmenter le diamètre. Ou encore de mettre un plug quelques minutes avant qu’elle ne décide de me prendre avec son pénis.
Pour ma deuxième journée encagée, J’ai dû aller travailler avec un plug dans la poche de ma veste et une consigne :
- “ Tu choisis ton heure, mais je veux que tu portes le plug pendant une heure dans ton cul, si pas, tu seras punie ! »
Fort heureusement pour moi, une heure, ce n’est pas très long, surtout quand on commence l’heure quand la pause vient de commencer.
Le soir venu, j’intime à ma maîtresse de porter un plug pendant toute la nuit. Elle apprécie l’idée et me dit de mettre le petite fantôme rose, sa base est très large donc aucun risque qu’il ne rentre tous seul et le diamètre est assez correct. En revanche, j’ai proposé à madame de dormir avec une couche, car le plug pouvait ressortir en pleine nuit et je ne voulais pas tacher les draps.
C’est donc avec le sexe encagé, le derrière investi d’un fantôme rose et une couche-culotte que j’entame ma nuit.
9h15 du matin, madame entre dans la chambre or que je dormais encore :
-
“ Debout Sylvie, fini de rêvasser, tu as passé une bonne nuit avec tes copains d'infortune” ?
-
“ Bonjour madame, oui ça s’est plutôt bien passé, je ne me suis pas réveillé trop souvent, vous voulez vérifier si je suis ouverte” ?
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“ Ha bha oui tiens, écarte tes bras” !
Je me retrouve alors attaché au lit grâce aux sangles qui sont placées sous notre lit. Je vois moi déesse sortir un préservatif, du lubrifiant et le plug anal gonflable. A la vue de cette pompe d’air, je commence déjà à pousser des petits gémissements de plaisir mêler à la crainte. Le plug gonflable me donne des sensations vraiment particulières. Plus il est gonflé, plus je ressens la sensation d’être rempli de l’intérieur. Une sensation semblable à celle des moments où nous devons aller à selles, mais bien plus érotique et envoûtante que nos déjections quotidiennes.
Le temps que je réalise ce qui va m’arriver, madame pousse déjà légèrement son ami sur ma rosette. Le point le plus dure est entré, madame me regarde avec un grand sourire avant de presser sur la poire ! 1 fois…. 2 fois…. 3 - 4 fois, je me tortille dans mes liens, madame m’observe avec attention tout en regarde mon pénis qui tente l’érection, mais qui ne peut grandir car elle possède la clé de ses barreaux. PCHHHHHHHHHT, elle dégonfle et appuie 2 fois d’affilés, puis recommence deux fois d’affilés, et à nouveau 2 fois d’affilés ! Je me tortille, je me noie dans cet univers de sensation, j’ai l’impression de devoir libérer mes sphincters, tout en ressentant une pression contre ma prostate. Les sensations sont exquises et inimaginables.
- “ Tu es prête ? Ça va bien gonfler”. Me dit-elle avec une banane sur le visage.
1….2…..3….4….5 - 6….7. Elle s’arrête un moment afin de me laisser reprendre ma respiration et mes esprits. 8 - 9. J’hurle dans un coussin mon plaisir, j’ai l’impression que je vais exploser de l’intérieur. Elle continue par des petites pressions sur la poire, elle a facilement dû appuyer encore 6 fois sur cette poire.
- “ Pousse pour le faire sortir, c’est fini Sylvie” !
Je m’exécute donc et fait ressortir ce pénis diabolique de mon rectum. Madame me montre le plug encore gonflé, il doit faire environ 6 cm de diamètre. Nous ne sommes qu’au début de nos jeux, je pense qu’on peut encore monter de 2-3 cm à l’intérieur de moi. Ce sex-toy est terriblement délicieux et agréable.
Le quatrième jour, je reçois un message de madame me disant que je suis une chienne car je laisse mes affaires trainer n’importe où. Elle va m’apprendre à ranger mes affaires avec une punition humiliante. De plus, je n’ai pas écrit le petit mot que je suis supposé écrire pour elle tous les matins. Je lui demande alors de regarder dans son portefeuille, j’y avais subtilement glissé 2 mots la veille, un pour le matin et un pour sa pause de midi. Grâce à cette petite attention, j’obtiens la possibilité de faire ce que je veux pendant 5 minutes avec elle. Des tonnes d’idées me traversent l’esprit : la prendre avec une god ceinture creux avec mon sexe à l’intérieur ? Non je veux qu’elle soit aux anges et qu’elle puisse jouir, en 5 minutes, c’est trop court. J’ai une idée qui la satisfera obligatoirement et qui me frustrera également.
Plus tard dans la journée, madame me demande de porter un plug pendant 4h30. Je réussis à le garder pendant 3 heures. J’en informe madame à mon retour et elle est plutôt satisfaite, elle pensait que je n’arriverai pas à le garder plus de 2 heures.
Enfin arrive l’heure de ma récompense.
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“ Alors que veux-tu” ?
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“ J’aimerais que vous m'attachiez les mains au lit, que vous mettiez vos nids d’amour prêt de mon visage et que vous vous fassiez jouir à l’aide de votre vibromasseur”.
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“ En gros je dois me masturber devant et sur toi, tu vas en baver tu sais ? ton idée me plait, tu n’as pas pensé qu’à toi et j’apprécie ton geste”.
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“ Je voulais surtout que vous preniez votre pied madame, je suis là pour vous servir et vous rendre la vie facile.
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“ C’est très bien Sylvie, car tu n’es là QUE pour ça, je suis contente de voir que tu ne l’as pas oublié”.
Chose promise chose due, madame m’attache au lit, rapproche son sexe et son anus de mon visage et place le vibromasseur sur son clitoris. Son odeur parvient jusqu’à mon nez qui n’est qu’à 15 cm, elle passe parfois son vagin humide sur mon visage. Il ne lui faut pas plus de 2 minutes pour être prise de spasme et jouir sur mon torse
-” Mhmmmmm j’espère que tu as aimé, moi j’ai aimé et je suis fatiguée maintenant, bonne nuit. Et au fait, je te devais une punition, demain tu n’auras pas le droit de me toucher de toute la journée, le soir on verra si tu auras été sage”.
-
“ Mais madame, j’ai été super sage, je vous ai pa…”
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“ Tu discutes ? Tu peux très bien ne plus me toucher jusqu’à notre week-end si tu veux ” ?
-
“ Non ça va merci. Désolé madame, bonne nuit madame”.
-
“ Je préfère ça, bonne nuit”.
Mercredi, le cinquième jour, particulièrement difficile. Après la journée de travail, nous nous retrouvons à la maison vers 16h. Je n’ai pas pu embrasser madame, qui, reste quand même ma fiancée malgré nos jeux. Nous commençons de plus en plus à savoir faire la différence entre nos jeux et notre vie habituelle. Je dois d’ailleurs dire que madame est de plus en plus sadique.
Le soir arrive, je demande à madame pour aller me laver.
- ” On va se laver ensemble, en plus, je dois pisser.
Mon sexe se tend directement, madame sait que son urine à un effet aphrodisiaque sur moi. Elle n’est pas encore prête à me faire goûter son champagne doré, mais elle me laisse jouir de ces douches dorées. Je n’ai clairement pas à me plaindre !
Elle se soulage donc sur moi et m’oblige à cracher son jus jaune, âcre et si délectueux.
A la fin de notre douche, madame me lance :
-
” Tu me fais un massage érotique ce soir” !
-
” Bien madame”.
Je suis alors aller dans la chambre, j'ai préparé de la musique d'ambiance, j'ai enfilé un des plus gros plug qu'on possède serti d'un diamant (en plastique) J'ai fait un string de corde pour le maintenir bien en place et j'ai enfilé le string serviteur de chez abcplaisir. Pour finir, j'ai mis la laisse sans la chaîne pour montrer à madame ma soumission. Quelques minutes plus tard, madame est arrivée dans la chambre, elle m'a observé et a apprécié la préparation du massage. Je l'ai déshabillé et installé sur le ventre sur le lit. J'ai commencé par lui masser le haut du corps, tout en me frottant à elle. Mon pénis restait à l'état de clitoris dans sa petite cage malgré l'excitation. Je suis descendu à ses fesses pour la masser et observer son anus si parfait et tant convoité. Elle m'a alors intimé de venir humer ses odeurs... Exquises
Mon massage s'est poursuivi jusqu'à ce que je fasse tout le dos, je l'ai ensuite retourné sur le dos pour masser le ventre. Là j'ai sorti un vibro pour qu'elle puisse se faire plaisir en même temps du massage. Quand son excitation était montée, j'ai entamé un massage de la poitrine en insistant sur ses points sensibles. Au bord de la jouissance, j'ai descendu mon pouce pour légèrement lui pénétrer l'anus. Sa jouissance est arrivée, malheureusement, le vibro est tombé à plat pile au mauvais moment. Fort heureusement, madame n’a pas pensée à m’en tenir rigueur.
Pour me remercier du massage, elle a accepté de me prendre avec son pénis noir (3.5 cm de diamètre pour 22 cm de long).
Une fois équipée, j'ai remis la chaîne de la laisse, j'ai retiré le plug qui était logée en moi pendant tout le massage. Je me suis placé en levrette sur le bord du lit. Elle a pointé son gland contre ma rondelle, est rentrée et ne s'est pas arrêtée jusqu'à ce que son bassin soit en contact avec mes fesses. J’adore sentir les mains de madame sur mes hanches, les rôles sont complètement inversés, je me sens femme et je la sens toute puissante. Elle m'a alors besogné pendant de longues minutes jusqu’à ce que je lui suggère de passer sur du plus gros. (4.5 cm de diamètre 15 cm de long). Elle m’a laissé dans la même position, pour continuer à me besogner en rentrant à fond et en ressortant, pendant quelques minutes
- “ Terminé pour aujourd’hui Sylvie, tu étais bien ouverte, ta dilatation porte ses fruits. On va continuer pour que tu puisses accepter notre nouveau god ceinture”.
-” Oui madame, j’avais très envie de vous sentir en moi. Je suis d’accord pour le nouveau, j’ai hâte de vous voir avec, hâte que vous le fassiez coulisser en moi”.
Nous nous sommes couchés, je prends mon courage en main et je demande:
-” Madame, je commence à découvrir un plaisir encore inconnu. Pourriez-vous me tapoter les testicules, avec la cage je dois dire que c’est plutôt agréable.
-” D’accord on va essayer ça” me répond-elle. Je n’ai même pas eu le temps de la remercier qu’elle commence à me tapoter les testicules pendant 3-4 minutes. Avec la cage, les testicules me procurent une sensation encore inexpliquée jusqu’à maintenant. C'est une première et j’ai l'impression que madame a fort apprécié.
Le lendemain matin, je reçois un message de madame me demandant de retirer la cage pour la journée. Cependant je n’ai pas le droit d’y toucher, de me branler ni quoi que ce soit.
La dernière clause n’était pas facile à respecter. Le fait de sentir l’excitation monter, de voir son sexe prendre du volume comme il le fait habituellement sans sa cage est très agréable. Pour prolonger ce plaisir, je me suis amusé à regarder quelques vidéos de soumis en train de se faire prendre par leur maîtresse. Ou encore des soumis à qui on réalise un orgasme ruiné (nouveau fantasme présenté à madame d’ailleurs. Celle-ci est très intéressée et à très envie de me le faire subir). J’ai donc dû lutter pour ne pas me tripoter pendant mes heures de libertés.
Le soir arrivé, madame m’a permis de m’empaler sur le nouveau god-ceinture afin de le tester, pendant qu’elle prenait sa douche. La voir regarder par le rideau pour voir si je me besognais correctement était très excitant. En revanche, ma geôlière devient de mieux en mieux membrée. Son pénis fait maintenant 5 cm de diamètre et 20 cm de long. Après le passage de celui-ci dans ma grotte, je n’ai pas eu de difficulté à me rentrer 4 doigts dans le fondement.
Lorsque madame est sortie de sa douche, elle s’est équipée de son nouveau sexe pour me prendre et a réussi à faire rentrer la moitié.
-
” Va falloir t’entrainer encore, tu n’es pas assez ouverte ! Me dit-elle tout en me tapotant les valseuses avec rigueur et sévérité.
-
” Oui madame, j’espère pouvoir vous accueillir rapidement. Sachez que vous me faite énormément d’effet en tout cas. »
En effet, lorsque maîtresse Victoria me prenait et me tapotait, je commençais à sentir mes jambes chanceler. Les sensations sont terriblement exquises, je sentais son sexe qui tentait de se frayer un chemin dans mon orifice anal en touchant toutes ces parois. Je sens que je commence de plus en plus à perdre pied, j’en suis à 7 jours de chasteté, notre nouveau record et visiblement, ce n’est pas près de s’arrêter. Demain nous partons en week-end, Dieu seul sait ce qu’elle me réserve.
Chapitre 4 : Week-end en Allemagne.
Notre séjour commence à mes 8 jours de chasteté. Cela fait 8 jours que je n’ai pas eu l’occasion de jouir avec mon pénis. Je suis passé par le plaisir anal, le plaisir de la fessée, des tétons et enfin, la plus forte de toute, le plaisir psychologique. Le plaisir psychologique permet d’atteindre un état d'excitation intense et quasi permanent. Lorsque je suis seul ou au travail, la cage se rappelle constamment à moi, ce qui me maintiens dans une excitation endormie. En revanche, lorsque madame est à mes côtés, rien que sa présence me place dans une excitation plus forte. Le moindre regard, le moindre ordre, la moindre consigne éveil une envie de satisfaire ma maîtresse. Et le pire du pire, c’est quand madame s’occupe de moi. L’excitation est à son comble mon cerveau se déconnecte complètement. J’ai parfois l’impression de décrocher mon esprit et d’observer la scène vue d’en haut. L’émotion m’emporte et je rentre dans un état de transe rarement atteint d’une autre façon.
Nous entamons donc ce séjour en arrivant à l’hôtel vers 18h. Celui-ci est magnifique, le vestibule est illuminé et arbore un décor automnal. Nous prenons la clé de notre chambre et entrons dans l’ascenseur. Madame se jette sur moi, m’embrasse à pleine bouche et saisit mon sexe et sa cage avec sa main au travers de mes vêtements. Elle s’arrête, me sourit et me dit :
- “ Le week-end commence vraiment maintenant Sylvie” !
Je me contente d’incliner la tête et de lui sourire timidement. Des frissons me parcourent le corps rien qu’en imaginant ce que madame m’a prévue.
J’ouvre la porte à ma geôlière pour qu’elle entre en première dans son donjon de fortune.
Notre chambre est composée d’un petit couloir avec la toilette prêt de la porte d’entrée. Au bout de ce couloir se trouve notre lit double (1,80 m sur 2,20 m). Devant notre lit est placé le bureau surplombé par une télévision à écran plat. Et pour finir, la pièce que madame affectionne particulièrement, la salle de bain. Celle-ci est munie d’une double vasque et d’une douche à l’italienne très spacieuse.
Nous nous extasions quelques minutes à la vue de cette superbe chambre. S’ensuit alors l’ouverture de nos valises. Madame prend la petite et va la mettre dans le couloir, sur un petit espace prévu pour mettre nos chaussures. Elle l’ouvre et en sort un string, le plug noir avec le diamant au bout.
- ” déshabille-toi et met toi à quatre pattes sur le lit” !
Je m’exécute alors rapidement.
Je sens un liquide froid couler sur ma raie. Le plug vient chercher le lubrifiant pour finir par pousser contre mon entrée. En 2 secondes, le plug se retrouve à la fin de sa traversée, figé dans ma grotte.
- ” Met ton string et habille-toi, on va manger”.
J’exécute à nouveau l’ordre de madame. Malheureusement, à peine relevé le plug ressort de mon anus. Madame me regarde avec un regard noir. Je lui explique que je vais faire un string de ruban pour l’empêcher de ressortir tout seul. Je réalise alors le string, j’enfile ensuite mon string dans lequel mon sexe repose, enfermé dans sa castrat.
Le repas se passe très agréablement, chaque mouvement que j’exécute me rappelle le god qui me pénètre et me dilate. Madame en profite pour m’exciter en me disant qu’elle m’a préparé quelque chose d’énorme pour ce week-end. Que j’allais en baver et en couler. Je la crois sur parole et mon sexe se tortille dans son acier.
Pour bien montrer ma soumission, j’abaisse mon pantalon sous mes fesses pour montrer mon string à madame pendant que nous nous rendons à notre chambre. C’est excitant d’être au milieu du couloir donnant l’accès aux chambres voisines avec les fesses à l’air. J’ouvre à nouveau la porte à madame. A sa demande, nous plaçons les sangles sous le lit pour qu’elle puisse réaliser ce qu’elle a prévu. Ensuite, je dois retourner à la voiture pour aller chercher un élément oublié dont madame a “besoin”. Lorsque je reviens, je baisse les yeux pour ne rien voir et toque à la porte. Madame m’ouvre.
-
” Tu fermes les yeux, tu te mets à poil, sur le lit, bras jambes écartés”.
-
” Bien madame.”
Madame m’attache au lit et me passe un masque sur les yeux. Je ne peux absolument pas bouger mes jambes, en revanche, je peux m’appuyer sur mes coudes mais difficilement quand même.
J’entends ma maîtresse se préparer, déshabiller et habiller, mon imagination bat son plein.
-
” Tu es prête “ ?
-
” Je suis tout à vous madame Victoria”.
Elle vient alors à mes côtés, me dit de fermer les yeux. Elle retire alors le bandeau, s’éloigne de moi puis me permet de la regarder. Là je découvre une toute autre femme, ma dominatrice s’est métamorphosée. Ma réaction est immédiate, mon sexe est poussé vers l’avant par l’excitation.
Madame est surélevée par des chaussures à talons noir brillant. Ses jambes sont recouvertes de bas résilles en forme de losange. Cette combinaison met entièrement le bas du corps de ma maîtresse en valeur. Un body vient cacher son intimité, formant un string. Ses fesses sont galbées et attirantes. Les tétons de sa poitrine se dessinent sur le haut de son body. Ses lèvres sont recouvertes d’un rouge à lèvres rouge, rendant ses lèvres pulpeuses. Sa chevelure flamboyante est lissée et retombe sur ses magnifiques épaules. Je suis éblouit par cette beauté qui m’observe et me sourit d’un air sadique.
Elle saisit alors la télécommande. Une musique commence à retentir dans la chambre et ma domina se met alors à danser. Je suis hypnotisé, captivé par ce spectacle inaccessible.
Elle monte alors sur le lit, vient se placer entre mes jambes et commence à me fouetter. Les premiers coups de fouet arrivent sur mon torse. Rapidement, elle se dirige vers ma cage et mes bourses qui, elles, sont accessibles. Les petits coups m’envoient des décharges dans tout le corps. Soudainement, les morsures du fouet s’arrêtent, madame saisit mon sexe et commence à tapoter mes testicules. Je me tortille dans mes liens, la douleur laisse immédiatement place au plaisir entre chaque petit coup. J’exalte, je gémis et pendant ce temps, elle me sourit. Elle qui sait ce qu’elle peut me faire, qui sait ce que je peux supporter, qui sait comment obtenir du plaisir en me dominant, elle qui a accepté mes fantasmes en en découvrant des personnels. Elle se retire alors du lit, reprend sa danse et commence à se déshabiller. J’ai droit à un striptease en directe de la part de ma dominatrice. Je suis aux anges, frustrée et terriblement excitée.
Elle saisit une culotte ainsi qu’une poignée de pinces à linge. Elle remonte sur le lit pour se rapprocher de moi.
-
” Je l’ai portée pendant 2 jours, j’espère qu’elle sera à ton goût, mais avant, je vais te placer ses pinces à linges sur tes couilles. Après tout, ta bite est en cage, tes couilles peuvent subir un peu aussi”.
-
” Avec une poignée ça devrait aller, merci madame”.
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” Ha tu n’es pas content ? Bon et bien on va aller rechercher deux poignées alors”.
Mon sang se glace une première fois lorsque j’entends ces mots et une seconde fois lorsque je la vois revenir avec toutes les pinces à linge. Elle commence alors à me les placées, les enchaînant comme si elle les mettait sur un drap pendant. Mes testicules commencent vite à manquer de place, ma t o r t i o n n a i r e prend plus de temps pour mettre les dernières pinces. Mes testicules sont tirées et mordues de partout, ressemblant à un hérisson.
Et là, elle rapproche l’entre-jambe de sa culotte vers mon nez. Au début, elle me fait juste sentir à distance, puis elle arrête et commence à parcourir mon torse avec ses doigts. Ceux-ci sont ornés d’ongles artificielles. Elle s’amuse à me caresser le corps et à pincer mes tétons ou encore à passer ses mains sur les morceaux de bois fixé à mes bourses. D’un coup, elle remonte ses mains, s’empare de mes tétons pour les serrer entre deux doigts et tirer dessus. Un râle de plaisir s’empare de moi lorsqu’elle lâche le téton de gauche pour venir coller sa culotte souillée contre mon nez. Je m'enivre de ce parfum si délectueux et me noie dans les pincements ressentis au téton de droite. Elle laisse la culotte sur mon visage et sort du lit pour disparaître dans le couloir.
Lorsqu’elle revient, elle tient dans sa main le god noir avec lequel elle a l’habitude de me prendre. Elle le dépose sur la table basse placé au bout du lit pour que la ventouse exerce son pouvoir adhérent. Elle le recouvre d’un préservatif et de lubrifiant pour finir par venir se placer au-dessus de lui. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
- ” Observe bien, c’est ce que tu ne peux plus me faire”.
Et elle se met à coulisser sur le sexe dressé naturellement. Elle me regarde, saisit ses seins pour les malaxer devant moi. Elle monte et descend sur ce sexe qui n’est pas enfermé. Le mien est en ébullition, ma cage est chaude et remplie, il n’y a pas le moindre espace disponible dans cette prison de métal. Je l’observe attentivement, désirant plus que tout être à la place de ce magnifique phallus turgescent noir. Elle s’arrête alors, se dirige vers moi, elle enjambe le lit et se met alors sur mon visage. J’ai une magnifique vue sur son vagin et sur l’antre du paradis. Elle s’assied alors sur moi, m'empêchant de respirer, m’obligeant à prendre ses odeurs directement à la source. Ses mains parcourent mon corps, passant des tétons à la cage et au hérisson temporaire.
- ” Interdiction de me lécher” !
Elle se relève pour me laisser respirer, puis s'assied sur moi à nouveau. Elle répète plusieurs fois le même schéma. J’exulte de joie, de plaisir, de frustration. Je me noie dans une mer de sensation, toutes ses sensations ont leur particularité et leur pesant de plaisir. Les morsures des pinces commencent à être de plus en plus douloureuses.
Elle se relève, me laissant reprendre mon souffle et s’en allant dans le couloir. Elle revient, se couche à côté de moi. Elle s’est mise à l’envers afin que je puisse voit son intimité de très prêt en écartant ses jambes. Ce qu’elle fait directement en plaçant son vibromasseur contre son clitoris.
- ” Je libérerais tes couilles quand j’aurai joui”.
Elle active alors son vibromasseur et se masturbe juste devant moi. Elle tourne et frotte sur son clitoris, lui provoquant ainsi des spasmes pré-orgasmiques. Elle s’arrête de temps en temps pour me faire lécher son vibromasseur avant de le replacer sur son bouton rouge. Je lui caresse les jambes, exécutant une sorte de massage pour lui faire du bien. Son corps entier se prend de spasmes, elle gémit son plaisir, ce qui provoque une énorme frustration chez moi et en même temps, beaucoup de plaisir. Le plaisir de voir ma dominatrice prendre son pied sous mes yeux.
Elle me détache alors et me fait enlever les pinces à linges.
-
” Fini pour ce soir, on va se laver et tu peux retirer le plug de ton derrière”.
-
” Merci madame, il m’a donné beaucoup de plaisir pendant ce moment”.
Avant de se laver, madame m’a fait profiter de son jus d’amour dans la douche. J’étais aux anges, pénétré, excité aussi bien visuellement qu’olfactivement. Mon corps n’était également pas épargné.
Après notre douche, nous sommes restés un peu au lit à discuter de ce qui venait de se passer.
-
” Madame, vous vouliez passer un moment romantique aussi pendant notre week-end. Voulez-vous que je place le god-ceinture sur vous et qu’on fasse l’amour tendrement ? Je reste votre soumise, je reste en cage. On fait juste l’amour”.
-
” D’accord, pourquoi pas, mais n’espère pas mon autorisation pour jouir”.
-
” Entendu, merci madame”.
Je place alors la ceinture à madame, l’enjambe et présente ma rondelle sur la cime du sexe de ma maîtresse. Je descends doucement jusqu’à me retrouver assis sur le magnifique corps de ma domina. J’exécute les mouvements. Lents et profonds. Madame saisit mes fesses pour me forcer à continuer mes mouvements. Je profite du moment, me laissant pénétrer.
- ” J’ai plus envie, on arrête là Sylvie. Et pas de discussion envisageable”.
Je m’extirpe alors du sexe qui me sodomisait. Non sans regret, j’y serais bien resté moi.
J’ai terminé la soirée encagée, mes bourses encore bien pleine, une frustration énorme et un amour incommensurable pour ma gynarchiste.
Nous nous réveillons tous les deux vers 7h00.
- ” Accompagne moi à la toilette”.
Je me lève, lui ouvre la porte et me place à genou devant elle.
- ” Bonne initiative”.
Son jet d’urine vient frapper la faillance de la toilette jusqu’à ce que la source se tarisse peu à peu.
- ” lèche, deux coups de langue rien de plus”.
Je m’exécute immédiatement, c’est la première fois que madame m’autorise à faire cela.
- ” prend la clé et enlève ta cage”.
Mes yeux s’illuminent, je vois enfin ma jouissance arriver, j’espère qu’elle voudra bien me faire jouir avec un rapport sexuel. Elle revient près de moi avec un masturbateur, une genre de “vaginette” blanche dans lequel on enfourne un pénis pour se mastuber. Elle y verse du lubrifiant et le place sur mon gland.
-
” Tu ne peux pas jouir je te rappelle”.
-
” Madame, avec ça je ne vais pas savoir tenir vous savez”.
-
” Tu tiens le maximum et tu préviens quand tu es sur le point de jouir”.
-
” Bien madame.
Elle entame alors un petit va-et-vient, timide, très sensuel. Elle accélère la cadence pour finir à vitesse maximale. Je ne tarde pas à lui dire stop, n’ayant pas jouit depuis 9 jours, je suis une véritable cocotte-minute. Elle attend quelques secondes puis recommence. Je me tortille et lutte pour ne pas jouir. C’est difficile de ressentir du plaisir et de rester frustré car on ne peut pas atteindre l’orgasme.
Madame répète plusieurs fois la même opération, jusqu’à ce qu’elle ignore mon stop. Elle continue pendant 3-4 secondes et arrête subitement tout mouvement. Mon sexe se prend de spasme, j’ai franchi le point de non-retour, mon sperme jaillit dans la vaginette. Lorsque mon éjaculation est terminée, madame reprend la vaginette qui est toujours sur mon sexe en main. Elle recommence une masturbation rapide. Je me tortille dans tous les sens, la torture post-éjaculatoire est horrible.
Lorsqu’elle s’arrête, elle est plutôt satisfaite de son œuvre, mais inquiète quand même. Elle ne veut pas recommencer tout le chemin parcouru dans la chasteté et la frustration. Je la rassure alors rapidement, lui expliquant qu’elle m’a fait connaître un orgasme ruiné à quelque chose prêt. Je lui explique que je suis toujours frustré et que j’ai toujours terriblement envie d’elle. Elle se rassure, se recouche et après un brin de toilette, je me rendors jusqu’à 10h.
Plus tard, nous rangeons nos affaires. Nous allons faire une grande balade et puis nous changeons d’hôtel. Avant de partir, je dois remettre le même plug que la veille, avec le diamant. Et un string. J’enfile le collier de soumission autour de mon cou que je recouvre d’une écharpe. Nous mettons dans notre sac à dos le god ceinture, le fouet, la chaîne de la laisse et une ceinture de peignoir (nous devons investir dans des cordes).
Nous partons alors de la chambre pour aller déjeuner et ensuite nous diriger vers notre lieu de balade.
Une fois arrivée, nous nous mettons rapidement en marche. Je profite d'exhiber mes fesses investies du plug et du string à ma domina. Elle en profite pour y mettre quelques fessées (très mordantes par ce froid de novembre.
Après un court moment de marche, nous nous éclipsons du chemin traditionnel pour aller dans les bois. Madame m’attache les poignets à un arbre, abaisse mon pantalon et commence à me fouetter le bas ventre, les testicules et la cage de chasteté protégeant mon pénis. Lorsqu’elle arrête de me fouetter, elle s’amuse à me tapoter les testicules. Elle vient de découvrir cette pratique et en est très friande. Après 15 minute de ce traitement, elle décide d’arrêter, de me libérer et de retourner sur le chemin pour continuer notre balade.
Il est 16h15 lorsqu’on arrive à notre nouvelle chambre d’hôtel. Plus modeste que la précédente, nous avons d’ailleurs la mauvaise surprise d’avoir deux lits simples. Fort heureusement, nous pouvons les déplacer pour les unir l’un à l’autre.
Depuis une semaine, nous discutons avec un autre couple découvrant la soumission et la domination. En revanche, chez eux, monsieur est le dominant et madame est la soumise. Nous avons proposé à ce couple de s’échanger des photos et vidéos de notre soirée. C’est notre première relation d’exhibition et je dois bien avouer que c’est très grisant. Madame s’est changée pour revêtir une magnifique tenue une pièce composée de résille et de parcelle léopard. Encore une fois, elle est juste magnifique dans cette tenue.
Nous avons commencé par envoyer une photo de madame en tenue et de moi portant le string serviteur d’abcplaisir. Nous avons enchainé par des photos des différents god ceinture et enfin, quelques vidéos de madame occupée de me prendre avec son nouveau jouet. Un god ceinture de 5 cm de diamètre pour environ 20 cm de longueur. Avec l’excitation de l’exhibition, j’ai réussi à me surpasser et à faire rentrer les trois quarts du god-ceinture. Madame était plutôt fière.
Profitant d’une pause, madame a décidé de passer à une nouvelle étape en m'épilant le sexe, les bourses et l’anus. Tout s’est super bien passé, sauf l'épilation des bourses qui fut un véritable calvaire. Fort heureusement, nous avions une pommade cicatrisante qui ont allégé la douleur.
Pour la soirée, Madame et le dominant de l’autre couple ont décidé de se donner des idées pour faire baver leur soumises respectives. Elle retire ma cage et se met à me masturber jusqu’à ce que mon sexe soit totalement dressé.
- ” tu as deux minutes pour remettre ta cage, sinon punition, top”.
Mon sexe est en érection complète, je dois remettre ce pénis totalement durci dans la cage castrat. Ça me parait impossible et impensable. À 1 minute 45 secondes, je pousse et tente de faire rentrer mon sexe. J’y parviens, il ne me reste plus que la clé souris qui coince sur son trajet
-
” Finit madame” ! Dis-je avec un grand sourire pensant avoir relevé le défi.
-
” Dommage regarde” Le chrono indique 2”00’20. A 20 dixième prêt j’avais réussis.
Je suis déçu de moi, me met à quatre pattes sur le lit tant les fesses et j’attends les mains douces et ferment de ma maîtresse Victoria. Celle-ci s'en tâche de rendre mes fesses rouges et d’envoyer une photo de ma punition à nos amis.
-
” Ce soir, tu peux jouir, mais uniquement dans ta cage. On s’arrêtera quand tu auras joui et uniquement quand tu auras jouis.
-
” Merci madame, merci milles fois”.
Je suis excité comme une puce, je vais enfin revivre un orgasme avec mon sexe encagé.
Madame se couche sur le lit avec le god ceinture de 4,5cm de diamètre, purple comme on l’appelle. Je descends dessus et commence à me besogner. Je sens le plaisir qui monte mais pas assez vite. Madame décide de me changer de position et de me mettre à quatre pattes. Je suis dans un autre univers, je gémis dans mon oreiller et madame en profite pour faire une vidéo et l’envoyer à l’autre couple.
Elle me retourne ensuite sur le dos, rentre à nouveau en moi et saisit la naissance de mon érection entre mon scrotum et ma cage de chasteté. Il n’en fallait pas plus, après 2 minutes, mon sperme jaillit dans ma cage, je suis pris de spasme et ne réalise pas ce qu’il se passe pendant les 30 secondes qui suivent ma jouissance.
- ” Va laver ta cage et tu la remets, on en a pas fini nous deux.”
Notre week-end s’est terminé de manière très simple, toujours en tant que soumis auprès de madame, mais sans fioriture.
Chapitre 5 : Retour à la maison
Le retour de notre week-end se passe superbement bien. Madame est redevenue la sadique amoureuse du domicile. Elle commence à faire de moi en moi attention à moi, se contentant de me demander de mettre un plug dans mon derrière ou encore de me faire plaisir sur son sexe posé au sol à l’aide de la ventouse.
C’est surtout avec le couple d’ami que la situation a évolué. Avant notre voyage, nous communiquons par mail. Nous nous envoyons des idées, ce que nous aimons dans nos pratiques respectives etc. Pendant le week-end, nous avons franchi un cap. Le cap de l’exhibition à l’aide de photo et vidéo. Je dois dire qu’en tant que soumis, j’apprécie fortement l’idée de devoir m’exhiber à un couple partageant les mêmes délires que nous. Même si chez eux, madame est la soumise, j’apprends énormément d’elle et de son mari dominateur. A notre retour à la maison, la situation à continuer d’évoluer. Nous nous envoyons des photos et vidéos tous les jours me montrer nu avec ma cage bien en vue ou même avec un plug en plus logé dans mon fondement. Ce qui est vraiment agréable dans ces échanges, c’est la réciprocité et l’ouverture d’esprit de nos chers collègues. Il est plus qu’agréable de pouvoir discuter et se montrer à d’autres personnes sans être apeuré par un éventuel jugement de valeur, de fantasme et de libération sexuelle.
Notre relation à tellement évolué qu’au début, nous parlions d’une rencontre autour d’un café.
Maintenant, nous imaginons différentes suites à ce café. De mon côté, je me suis imaginé au côté de l’autre soumise, tous les deux à quatre pattes sur le lit, fesses tendues vers les extérieurs avec un plug dans le derrière. Là, ma dominatrice adorée et le dominateur de l’autre soumise rentre dans la chambre, prennent le temps de nous observer, de nous caresser avant de commencer les hostilités. ils nous fouetteraient, nous fesseraient pour rendre nos fesses rouges. Ensuite, monsieur s’occuperait de sa soumise pendant que madame me prendrait avec un god ceinture. Pendant ce temps-là, la soumise et moi-même subirions les coups de butoirs de nos maîtres. Je suis prêt à tout pour plaire à ma maîtresse, si elle décidait d’inverser les rôles entre les dominants, je serais prêt à me laisser faire pour lui faire plaisir. Je veux qu’elle soit fière de moi et la rendre la plus heureuse possible. Je n’ai jamais été attiré par les hommes, en revanche, j’ai toujours aimé relever des défis et j’aime encore davantage rendre ma geôlière heureuse.
D’autre scénario me traverse l’esprit mais dans tous les cas, il faudra que nous nous concertions avant toutes choses. De plus, échanger et s’exhiber à distance est une chose plutôt facile à faire. En revanche, réaliser une rencontre rendrait nos échanges très concrets ce qui est déjà plus difficile. Seul l’avenir nous dira si une rencontre intime aura lieu ou non.
Chapitre 6 : deux semaines de chasteté, ça se fête.
Aujourd’hui, ça fait 14 jours que je suis sous cage de chasteté. Sur ces 14 jours, j’ai eu la possibilité de jouir 2 fois. Ce qui est tout nouveau pour moi qui ai l’habitude de me masturber 1 à 2 fois par jours.
Je suis donc terriblement excité et madame m’annonce déjà la couleur.
-
” Ce soir, tu es tout à moi”.
-
” Merci madame, je me demandais si on ferait quelque chose pour mes 2 semaines de chasteté”.
-
” Je n’ai pas encore dis que tu pourrais jouir, alors on se calme Sylvie, va me chercher de quoi grignoter pour calmer tes ardeurs”.
Je vais donc dans la cuisine pour lui énumérer toutes les cochonneries qu’elle peut manger si elle le désir. Elle porte son dévolu sur des mikados, me permet de me réinstaller prêt d’elle et on regarde la télé comme si de rien n’était.
Le soir arrive et madame me dit :
- ” Va mettre du chauffage dans la chambre, remet les sangles sous le lit et prépare notre sac de jouet !”
Je me lance vers notre chambre pour préparer tout ce qu’elle m’a demandé de préparer. Je finis ma quête en m’installant, nu sur le lit sur le dos. Seuls ma bague et ma cage de chasteté m’habille.
Madame arrive dans la chambre et commence son œuvre.
Tout d’abord, elle m’attache les jambes collées à mes cuisses de sorte à ce que je ne puisse plus déployer mes jambes. Ensuite, elle m’attache les mains aux extrémités latérales du lit et finit par me mettre un masque sur le visage. De la musique commence à retentir pendant que ma maîtresse s’est retirée quelques minutes.
Je sens à nouveau la présence de madame. Celle-ci se place entre mes jambes repliées, face à mon sexe dans sa cage et mon anus bien ouvert. Elle commence alors à me caresser le ventre, me pincer les tétons et bouger un peu sur mes testicules. Dans la foulée, elle en profite pour me donner quelques petites frappes sur mes précieuses, ce qui provoque chez moi des halètements et des gémissements.
Soudain, elle lève mes fesses et vient placer un coussin en dessous. Elle me badigeonne la rondelle de lubrifiant et vient rapidement placer son gland devant la chatte humide. Elle s’insère en moi d’une traite m’arrachant un râle de plaisir.
-
” Bien ma Sylvie, tu es de plus en plus large, maintenant tu vas déguster, interdiction de jouir tant que je ne t’en ai pas donné l’ordre”.
-
” Bien madame”. Dis-je dans un murmure. Je commence déjà à perdre pied, je ne vois rien, mon corps est attaché je ne peux pas essayer de me dérober à elle. Elle coulisse en moi, de grand va-et-vient sous un rythme effréné. Son gland vient constamment buter contre ma prostate. Une sensation devient de plus en plus forte, celle qui est similaire à l’envie d’uriner, mais qui est due à la stimulation de ma prostate. Je gémis de plus en plus fort, je scande madame Victoria pour qu’elle comprenne que mon plaisir lui est voué.
Elle s’arrête un moment. Fait du bruit comme du plastique. Elle remet du lubrifiant et je sens 1 doigt qui s’insère en moi. Je sens que ça devient de plus en plus gros mais j’ignore le nombre de doigt qui se trouvent dans mon fondement actuellement.
-
” Waw, pas mal du tout Sylvie, ta chatte est bien ouverte j’en suis à quatre ! »
-
” Vous voulez essayer de mettre la main madame ? »
-
” Et comment, je ne vais pas me faire prier ! »
Je sens qu’elle à rajouter du volume, sa main en forme de point tente de pénétrer ma grotte en profondeur. Malheureusement, ça coince toujours au même endroit.
Je suis partagé entre le plaisir de sentir madame me fouiller et la douleur que me provoque cette tentative de fisting. Je rêve de sentir madame bouger sa main à l’intérieur de mon corps. Je comprends à présent que je suis encore une très mauvaise soumise et que je dois encore m’élargir l’intérieur pour pouvoir accueillir madame selon son envie.
Je sens une stimulation au niveau de mon entre-jambe de métal. Mon sexe se libère et peut enfin grandir. En revanche, l’anneau pénien de métal reste autour de mon pénis et de mes testicules.
-
” Je te libère une main, tu peux prendre des photos et des vidéos pour nos amis”.
-
” D’accord madame”.
Soudain je comprends ce que madame va faire. Elle met une grosse quantité de lubrifiant sur sa main, vient tartiner mon sexe dressé et commence une lente masturbation.
-
” Tant que je ne t’ai pas autorisé, tu ne jouis pas !”
-
” ça va être dure madame, je ferai de mon mieux”.
-
” Si tu jouis, tu seras sévèrement punie alors prend garde !”
A peine a-t-elle finie sa phrase qu’elle accélère sa main sur mon pénis raide comme un poteau de signalisation. Je gémis de plaisir et pense à d’autre chose pour ne pas jouir. J’avertis madame quand je suis sur le point de jouir pour qu’elle arrête ses mouvements.
-
” Bon, tu vas pouvoir jouir, mais ce ne sera pas forcément agréable pour toi. Tu te souviens de la vidéo que tu m’as montré sur l’orgasme ruiné ? Aujourd’hui, tu es mon cobaye et je vais essayer cela sur toi”.
-
” Merci de me laisser jouir madame Victoria, je tâcherai d’être à la hauteur et que votre tentative soit un franc succès”.
Elle se saisit alors de mon sexe et entame de très lent et doux va-et-vient. Elle accélère le rythme, puis le diminue. Lorsque je me tends et que j’halète, elle s’arrête pour voir mon membre se durcir et se contracter. J’éprouve des sensations rarement atteintes, je prends mon pied et en même temps je suis hyper frustrée de ne pas pouvoir jouir normalement.
La sève monte une première fois, je pense jouir et finalement rien ne coule. J’envoie une photo à nos amis. La sève monte une deuxième fois, puis une troisième, puis une quatrième. J’entame alors une vidéo pour nos camarades de jeu et la, madame me masturbe très vite pour s’arrêter brutalement.
Mon sexe se sert plusieurs fois, mon gland se contracte. Et se contracte en corps lorsqu’un petit filet de sperme sort et se met à couler le long de ma verge. Deux trois coulées se font, mon sexe est tendu et excessivement ferme. Madame reprend sa masturbation pendant quelques minutes, plus rien ne sort, l’excitation est toujours la mais je suis vidé.
-
” Voilà Sylvie, j’espère que ton cadeau “d’anniversaire” t’aura plus. Tu ne remets pas la cage, tu la remettras demain”.
-
” Mille merci madame, pouvez-vous regarder la vidéo avant que je ne l’envoie” ?
Vidéo validée par madame, nos amis peuvent maintenant la consulter.
Après un moment pour tout nettoyer et ranger, je sens que madame y a été fort sur ma prostate et sur ma grotte. Mais je veux pouvoir l’accueillir avec de plus gros calibre et accueillir sa main en moi, je dois encore progresser.
En fin de soirée, madame m’a autorisé à me masturber à côté d’elle dans le but de vérifier si tout allait bien et qu’elle n’avait pas été trop fort sur ma prostate. En 5 minutes, le reste de sperme présent dans mes bourses se déverse sur mon bas-ventre. Rien à signaler, tout va bien.
-
” La cage te fait jouir vite en tous cas, tu la remettras demain, tu es libre pour ce soir et demain en journée, mais interdiction de te masturber”.
-
” C’est entendu, merci beaucoup pour votre bienveillance madame”.
Chapitre 7 : La libération finale.
Après la fête pour mes deux semaines de chasteté, madame a été plutôt distante envers moi. Me demandant surtout de continuer à entretenir la largeur de ma rondelle.
Nous nous rapprochons des fêtes de fin d’année et madame me dit qu’elle a envie d’en finir pour le moment avec la domination.
-
« Je vais maintenant te dire comment tu pourras jouir. La seule méthode qui te permettra de te libérer des tes barreaux est la suivante : tu devras jouir en te faisant enculé par moi sans aucune stimulation autour de ta cage. Aucun contact aussi bien par toi que par moi. »
-
« Bien madame, je vous avoue que j’ai terriblement envie de ressentir à nouveau cet orgasme purement anal. »
Le soir arrive alors rapidement et madame me demande si je suis prête pour jouir ce soir et être libre, ou si ma chasteté continuera. Je lui réponds alors que j’espère vraiment être prête pour l’accueillir et pour jouir son ses coups de butoir.
Il est 20h30, j’ai préparé le god ceinture de madame, mon boxer troué pour pouvoir jouir sans tacher le matelas. La laisse autour du coup, la chaine le long de mon rachis. À quatre pattes, j’attend impatiemment l’entrée de ma maitresse.
Celle-ci rentre dans la chambre, m’observe et prend son temps pour se dévêtir. Ensuite, elle s’équipe de son god-ceinture, déchire le sachet d’un préservatif et vient le glisser sur son sexe.
-
« Je rentre et je m’arrête pas, si tu dois jouir tu dois être prête et ouverte non ? »
-
« Oui madame… Je suis prête pour vous » lui répondis-je peu rassurer.
Son gland touche mon anus tout en forçant l’entrée. J’accepte rapidement son gland. Qui laisse rapidement place à la longue tige du sexe de ma geôlière. Son bassin est contre moi, Son sexe de 4,5 cm de diamètre laisse mon anus bien ouvert autour de lui. Un râle de plaisir s’étouffe dans le coussin dès la pénétration complète effectuée. Maîtresse Victoria n’attend pas longtemps au fond de mes entrailles et se remet rapidement à bouger. De lent et long va-et-vient commencent, s’accélérant, de plus en plus, venant frapper sauvagement mes fesses. J’hurle dans mon coussin, j’exulte mon plaisir. Mes jambes flanchent et j’ai de plus en plus de mal à tenir ma position de levrette. Ma respiration s’accélère, j’ai l’impression d’être en pleine séance de fitness très intense.
- « Grimpe moi dessus Sylvie » !
Je m’exécute et vient m’empaler sur son pénis mauve qui ne demande qu’à me pénétrer à nouveau.
Je m’enfonce dessus, reste à pénétration complète et commence à bouger mon bassin. Je sens le pénis de ma maîtresse toucher toutes les parois de ma grotte. Chaque frottement sur ma prostate me donne l’impression que je vais jouir. J’accentue alors les mouvements pour atteindre l’orgasme. Je tourne, coulisse, accélère mais rien n’y fait. Je coule dans ma cage mais n’arrive pas à atteindre l’orgasme.
-
« Tu as encore 5 minutes, sinon tu pourras, PEUT-ÊTRE, jouir demain ».
-
« Non non, je vais jouir madame, je veux jouir aujourd’hui. »
J’accélère encore plus mes mouvements. J’exprime mon plaisir à grande gorge, madame me sourit, elle est ravie de voir le plaisir qu’elle me procure en me privant de liberté depuis 3 semaines et 5 jours maintenant. Je sais qu’elle est heureuse de pouvoir contrôler mon pénis, contrôler ma jouissance. En pensant à tous ça, je sens que mon plaisir continue de grandir. Quand soudain, mon corps entier se prend de spasme, je sens un liquide chaud envahir mon boxer troué, je jouis dans a cage et mon corps continue à coulisser sur ce pénis. Je n’arrive plus à contrôler le bas de mon corps. Mon esprit n’arrive pas à assimiler l’ensemble des sensations que je ressens actuellement. Outre l’endorphine sécrété lors des rapports sexuels, je sens une sorte d’adrénaline que l’on ressent lors d’un choc vécu ou encore lors d’un sport extrême.
Je reprends mes esprits quelques minutes plus tard. Madame à déjà retiré son god-ceinture et m’observe attentivement
- « On peut dire que ça c’est de l’orgasme. Fin de la chasteté, à très bientôt Sylvie ».
Notre record de chasteté en temps est de 3 semaines et 5 jours actuellement. Et le record sans jouissance est de 9 jours. Je suis sûr qu’on peut essayer de faire plus aussi bien en chasteté qu’en absence d’orgasme. Madame devient de plus en plus sadique, ce qui me comble de bonheur lors de nos jeux.
A très bientôt pour de nouvelles histoires, toujours 100% réelles
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